université Mouloud mammeri-Faculté de droit Boukhalfa -LMD-Tizi-Ouzou

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Présentation de l'université Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou
Crée en septembre 1977 en tant que centre universitaire avec un effectif d'un peu moins de 500 étudiants, dans un centre d'accueil pour personnes âgées sis a Oued-Aïssi, l'université de Tizi-Ouzou compte aujourd'hui prés de 42000 étudiants. A l'époque, le centre universitaire était structuré en quatre départements (sciences exactes, sciences biologiques, sciences juridiques et administratives et langues et littératures arabes et, par la suite le département des sciences économiques). Ces départements évoluaient dans une salle de cinéma de la ville et un sous-sol de l'APC faisant office d'amphithéâtres, 07 salles de travaux dirigés, 06 laboratoires et 02 laboratoires de langue. L'encadrement réunissait au total 27 enseignants dont 03 en langues et littératures arabes, 04 en sciences juridiques, 08 en sciences exactes et 12 en sciences biologiques. Après trois années d'existence seulement, le centre universitaire de Tizi-Ouzou allait être au centre de la contestation estudiantine et de la revendication identitaire qui a conduit en avril 1980 aux événements du printemps Amazighe, auquel il reste intimement lié depuis.

Entre 1984 et 1989, le centre universitaire a été éclaté en neuf (09) instituts nationaux d'enseignement supérieur (INES) avec la mise en œuvre de la nouvelle carte universitaire. Ces instituts comprenaient : les sciences agronomiques, les sciences médicales, les sciences économiques, les langues et littératures arabes, le droit, le génie civil, l'électronique et l'informatique. Chaque institut jouissait de l'autonomie financière et administrative et était dirigé par un directeur nommé par la tutelle. Le fonctionnement global de l'institution universitaire était assuré par un conseil de coordination présidé par un coordonnateur désigné par les directeurs des INES. Cette nouvelle forme d'organisation a sérieusement désarticulé certains enseignements par un effet de dispersion et la mise en veilleuse de certaines formations à l'image de la biologie qui s'est retrouvée diluée dans un institut à statut agronomique. Par contre, elle a permit le démarrage des instituts d'architecture et d'électronique.